• Si tu parles droit, vrai, il faut que tu t'excuses,

    Que soit ton repentir, dicté par la police

    De la gauche pensée, que l'infernal calice,

    Tu le boives jusqu'à la lie lorsqu'on t'accuse.

     

    Sévissent les censeurs, dont le zèle ne s'use,

    Accusateurs publics, il faut bien qu'ils sévissent

    Devant la liberté : leur fonction, leur service

    Est de punir, de châtier quiconque en abuse...

     

    Leurs opinions, tordues, si je puis me permettre,

    Sont les seules qu'il est autorisé d'émettre ;

    L'évidence et le bon sens sont leurs ennemis.

     

    Ils sont obsessionnels, et pleins d'intolérance,

    Surtout quand on signale leurs incohérences,

    C'est qu'ils sont adeptes d'une idéologie...


  • Celles que je combats par mes mots et mes actes, les fausses valeurs occidentales qui contribuent à son déclin, par la décadence morale qu'elles entraînent :

    goûts pour la mort, pour la laideur, pour l'égo, pour l'argent, pour le sexe déviant, pour l'abrutissement de l'esprit, pour l'artifice, pour la violence, pour la censure, donc le faux écologisme, le néo-féminisme, le pseudo-progressisme, le wokisme, le stupide égalitarisme...

    J'oppose à ces perversions ce que devraient être de vraies valeurs partagées, positives, rejetées par le gauchisme bobo et le macronisme sossot, par des minorités braillardes et geignardes :

     

    moi j'aime l'effort, la charité, le respect (du respectable), la patrie, les traditions, la paix, la beauté, la culture (la vraie), la liberté d'opinion, la langue française, la vie, l'amour...


  • Si la traduction concrète des valeurs occidentales,

    C'est le meurtre légalisé, encouragé même, des vieux et des enfants à naître,

    Non merci ;

    C'est la fin de la différence entre les sexes, la perversion des enfants par des décérébrés dégénérés qui veulent leur inculquer leur obsession sexuelle et mettre en danger leur équilibre psychique,

    C'est la baisse effarante du niveau de culture et de capacité de réflexion, le langage en déliquescence,

    Non merci ;

    C'est l'enlaidissement des villes et des campagnes, les zones en tôle, les panneaux publicitaires, les éoliennes, les panneaux solaires,

    Non merci ;

    C'est la possession matérielle comme unique horizon, c'est l'américanisation des mœurs , c'est l'UE, c'est l'OTAN, c'est le WEF, c'est Bigpharma,

    C'est le savoir qui s'efface au profit des écrans débilitants,

    C'est l'idéologie woke défiant le bon sens et la vérité du réel ,

    Non merci ;

    C'est une démocratie malade qui porte au pouvoir des fous dangereux, nombrilistes incompétents, fraudeurs, menteurs, mafieux,

    C'est l'acceptation de l'invasion migratoire,

    Non merci ;

    C'est la désinformation et la censure,

    Alors non, je ne défends pas cet Occident-là, je souhaite même sa disparition pour un régénérescence, que je sais improbable...


  • En écoutant « Répliques » hier, j'ai eu la confirmation de la nuisance des néo-féministes, qui veulent en finir avec la courtoisie, avec le respect, avec l'Amour. Elles semblent ne pas connaître la nature du sentiment amoureux, à ne voir la relation entre un homme et une femme que sous l'angle de la violence et de la domination, et toujours dans le même sens bien entendu. Elles s'appuient pour étayer leurs dires destructeurs sur des enquêtes sociologiques, sur des chiffres, et sur leur sociologie de bazar. Idéologie délétère pleine de présupposés. On leur dit « Amour », elles répondent « féminicides ». Elles n'ont comme horizon que l'onanisme et le lesbianisme. Elles biaisent à défaut de baiser...

     

    Non, l'Amour n'est pas un rat de laboratoire,

    Un objet disséqué regardé froidement,

    Placé dans des tableurs, car on sait qu'Excel ment,

    L'âme se perd en un procès dessicatoire.

     

    La fausse science assèche et mène à l'abattoir

    La vérité de vie, celle du sentiment,

    Et n'entre pas dans le royaume des amants,

    Elle mène plutôt l'Amour au crématoire.

     

    Comme elle est sale leur triste sociologie,

    Soumise à de gauchistes idéologies !

    Que savent-elles de l'Amour ces dépitées

     

    Pour qui l'homme est un salaud par définition,

    Qui font un viol d'une belle déclaration ?

    Ignorance du cœur, coupable cécité.

     


  • Comment agir quand on est convaincu de la vanité de tout combat ? Ce qui rend toute lutte absurde est la certitude qu'au bout c'est la mort, la suprême annulation de tout. Si j'oublie l'égoïsme de cette évidence tragique, il est un autre argument qui affaiblit l'envie de se battre, c'est la multitude des motifs et des adversaires, leur épaisseur inerte. Les masses crédules obéissent aux injonctions médiatisées des puissants, les seuls qui tirent parti d'un système aberrant. Attristant constat qui s'applique à diverses échelles, du monde professionnel, à celle de la nation, en passant par bien d'autres contextes. À titre personnel, des occasions de combattre des injustices subies m'ont été données par l'intermédiaire de vicieux au cœur sec. J'ai souffert, j'ai résisté, j'ai connu dans mes malheurs la chance de pouvoir prendre appui, pour pouvoir m'extraire du marasme causé, sur des collègues charitables, incarnant les vertus de l'amitié. On a voulu me pousser vers la sortie de l'établissement où j'enseignais, paradoxalement dédié à la Vierge et à la Paix, voire vers le suicide. Malgré les pressions, je suis resté, subissant d'autres vexations, d'autres mises à l'écart. Heureusement soutenu par le plaisir de l'enseignement, par les bonnes relations avec les étudiants, par la lecture et le jardinage, j'ai pu passer presque tranquillement mes dernières années d'activité professionnelle, gâtées cependant par les mesures hygiénistes absurdes imposées par des gouvernants aussi dépassés que sadiques.

    Aujourd'hui les malfaisants continuent à parader, forts de leur incompétence, de leur narcissisme et de leur vice. Ils font s'écrouler l'institution scolaire dont ils sont responsables, comme d'autres le pays, sans que les autorités supérieures, pourtant dûment prévenues, n'interviennent. Mes avertissements n'auront donc servi qu'à me mettre en danger, la plupart de mes collègues ayant cédé à l'indifférence, à la lâcheté, à la soumission intéressée. Et je n'oublie pas « l'ami », appelé à l'aide lors de ma noyade provoquée, intervenu non pour me sauver, mais pour me maintenir la tête sous l'eau.

    Bilan, que l'on peut étendre : les salauds, avec toutes les nuances que ce vocable indélicat peut contenir, qu'ils soient puissants ou non, sont nombreux, les êtres bons sont rares et précieux.

    L'action est vaine quand elle n'est pas soutenue par ceux-là mêmes qui, subissant l'autorité incompétente et injuste, ne feront rien pour exprimer leur désapprobation, ou, pire, se feront les alliés plus ou moins actifs des détenteurs d'un pouvoir immérité. L'égoïsme et la pleutrerie étant choses au monde largement partagées. Mais heureusement, aussi peu nombreux soient-ils, la présence de vrais amis permet de se relever. Fallait-il lutter, peut-on se demander une fois le combat perdu ? Bien entendu !





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