• Un régime aux abois, fût-il démocratique

    (le nôtre ne l'est plus, avec ce président),

    N'aime pas avoir tort, alors ses opposants

    S'exposent à des coups, pour oser la critique.

     

    Quand sort la vérité sur la vie politique,

    Le système mafieux rapprochant les puissants,

    Où les médias jouent leur rôle de courtisans,

    Juchés sur l'inertie de l’opinion publique.

     

    Police milice devient, la justice, elle,

    Est injuste, et le conseil constitutionnel,

    Comme celui d'état, devraient être remparts,

     

    Se dévouent à leur maître, en toute impunité :

    Plus personne au-dessus pour les réprimander...

    De la révolte qui pour donner le départ ?


  • L'Ukraine étant vaincue, les souhaiteurs de guerre

    Attisent des conflits pour écouler leurs stocks,

    Pour relancer leur machine à fabriquer l'enfer

    Sur terre où les pays se divisent en blocs.

     

    Les morts ne comptent pas : ils ne s'en soucient guère,

    Les drames personnels, les victimes ils s'en moquent.

    Pour les uns, c'est l'argent, la gloire militaire

    Pour les autres, comme on le vit à chaque époque.

     

    Quelles braises allons-nous maintenant ranimer

    Pour un grand feu total, un immense brasier ?

    Voyons, voyons, ouvrons grand la carte du monde...

     

    Bon sang, mais c'est bien sûr ! Le Moyen-Orient !

    Se disent tout contents les faucons en riant :

    Déclenchons la terreur sans perdre une seconde...


  • Ils ne vont pas chômer, les nouveaux surveillants,

    À rechercher partout le propos déshonnête,

    Ou jugé comme tel depuis le jugement

    Des geignards paranos, de plaignants pas très nets.

     

    Il suffit d'aller voir un peu sur internet,

    Où tout le monde va tout le monde insultant !

    Les vérificateurs vont y perdre la tête,

    Ou pas : je crois qu'en fait ils vont choisir leur camp.

     

    Leur camp : celui du « bien », du gauchisme, des wokes :

    Pour n'avoir pas d'ennuis, il ne faut pas qu'on se moque

    Des outragés professionnels vite offensés,

     

    Ceux qui voient partout du « facho » bien commode...

    Il est une victime à cette sale mode :

    C'est l'humour, c'est l'esprit que l'on va censurer.


  • Pourquoi donc le macron veut-il à la Russie

    Faire la guerre ? Est-ce simplement qu'il est fou,

    Qu'il confond avec un jeu vidéo la vie,

    Ou que d'un homme vrai le voilà très jaloux ?

     

    La Russie devrait être une nation amie ;

    Et Lemaire qui voulait la mettre à genoux !

    Malgré les sanctions va bien son économie...

    La France est à genoux, la Russie tient debout.

     

    Le nul de l'Élysée fait de très mauvais choix,

    Lui qui n'est qu'un pantin, il se prend pour un roi,

    Il a la parole idiote et l'insulte facile ;

     

    S'il n'était que quidam, on se contenterait

    De soupirer, mais ce déplorable imbécile

    Préfère à la vie la mort, la guerre à la paix.


  • On devrait envoyer ministres et députés

    Dans la réalité :

    Connaissent-ils la vie, la vie dans le réel ?

    Viens donc Emmanuel,

    Viens voir ce qu'est la vie, l'augmentation des prix,

    Regarde mon caddie :

    Facile d'accuser ce crétin de Lemaire,

    Si tu le laisses faire...

    Viens voir, grand con d'Éric, tous ces quartiers de France

    Qui ne sont plus la France,

    J'arrête ici pour éviter la litanie

    De tous ces abrutis.

    Le refus du réel peut provenir aussi

    De l'idéologie,

    Le regard déformé par le filtre en couleur

    Qui provoque l'erreur...

    Je résume quant à ce monde politique

    En un dernier distique :

     

    C'est à l'incompétence et la mauvaise foi

    Que nous devons nos lois.

     





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