• Mon exil est dans les livres

    Mon exil est dans l'Amour

    Mon exil est au jardin

    Des prisons je me délivre

    En quittant pour un temps court

    Ce présent lourd qui m'étreint

     

    Mais certains livres sont pesants

    Ma belle âme-sœur n'est pas là

    Le jardin se noie dans l'eau

    Alors me revoilà pensant

    De la radio le blabla

    M'irrite tout aussitôt

     

    Est médiocre cette époque

    Les gens laissent tout passer

    Plus rien ne les scandalise

    Pourtant tout cela débloque

    Donne envie de tout casser

    Mais je n'ai aucune prise

     

    Alors je prends mon crayon

    Je laisse aller ma colère

    C'est mon auto-thérapie

    Comme une décompression

    Ma colère mise en vers

    Mes humeurs que je confie


  • Je pense contrairement

    À Macron qui ment, rement :

    Les Russes sont nos amis

    Les EU nos ennemis

    (Et bien sûr l'UE aussi)...

    Je dis : Vive la Russie,

    Et tous les Russes nos frères

    Que la victoire en la guerre

    Récompense le combat

    De la justice et du droit.

    L'Ukraine américanisée,

    Mafieuse et mal dirigée,

    N'a pas mon admiration,

    Et je plains cette nation

    D'avoir un autre histrion

    En guise de président,

    Comme Macron le dément,

    Un autre sot nombriliste

    Stupidement mondialiste.

    J'invite même Poutine

    À faire fuir la vermine

    Qui salit mon cher pays

    Sous des pervers abrutis :

    Il a perdu sa belle âme

    Sous des dirigeants infâmes,

    Où tuer devient légal,

    Où les lois sont immorales ; 

    Pas de souveraineté,

    Soumission au grand marché,

    Aux lobbys LGBT,

    À la franc-maçonnerie

    (Une rime riche ici!).

    Seule la manière forte

    Ressuscitera la morte,

    Je t'attends donc Vladimir

    Je t'attends et je t'admire,

    Je préfère l'âme slave,

    Avec ce qu'elle a de brave,

    De spirituel surtout,

    À ces raclures d’égout

    De l'occident perverti

    Devenu petit petit.


  • Ils veulent que rien ni personne ne leur échappe,

    Les biens de chacun, les agricoles terres,

    Les âmes, les esprits, plus de propriétaire,

    Autre qu'eux, puissants accapareurs et satrapes.

     

    La moindre liberté qui subsiste, ils l'attrapent,

    Il ne vous reste que ces droits : celui vous taire,

    De vous soumettre tous à leurs lois délétères,

    Ainsi qu'à leurs écrans, pour le travail de sape.

     

    La peuple amorphisé, les gens nombrilisés,

    Abêtis par une inepte scolarité,

    Par des médias asservis et propagandistes,

     

    Ne réagissent pas . C'est pourtant vers la guerre

    Qu'on veut nous emmener, la perspective est claire !

    Mais si vous le dites, vous êtes complotiste.


  • Au-dessus de chacun sont des marionnettistes,

    Entre leurs doigts, leurs mains agiles et habiles,

    Tu ers manipulé tout au bout de leurs fils :

    Tes gestes et tes idées ne sont que conformistes.

    Tu crois être libre, et tu n'es qu'obéissant,

    Tu te plies au moindre de leurs commandements ;

    Tes vils agitateurs te remuent sans scrupules,

    Et toi tu dis oui, tu avances, tu recules,

    Tel une girouette entraînée par le vent,

    Ou l'engrenage entravé dans ses mouvements,

    Ou le chien de Pavlov soumis aux stimuli.

    On te dit que c'est bien, alors tu le redis,

    On te dit c'est méchant, te voilà antifa,

    Bien sûr tu es à gauche, cela va de soi !

    Car tu as abdiqué de tout esprit critique,

    Et l'on te fait croire au tout idéologique ;

    Tu ne vois même plus que c'est absurdité

    Cette ineptie que tu prends pour la vérité.

    Pendant que tu te perds en des combats stupides,

    Là-haut les tireurs de ficelles qui te guident

    Ricanent satisfaits de leurs diversions,

    Et tout tranquillement avancent leurs sillons :

    Ils te regardent crier leurs slogans pervers,

    Ils tirent sur un fil, ton genou est à terre...

    Tu crois naïvement à ce que tu proclames,

    Mais on t'a amputé de l'esprit, de l'âme ;

    Entre toi et le monde un écran de fumée

    T'empêche de le voir dans sa réalité.

    Les marionnettistes tirent les bénéfices

    De la crédulité de leurs pantins complices.

     

    Que ne suis-je celui qui coupe tous les fils,

    Et fasse sortir de la caverne aux imbéciles

    Ce peuple bêlant, geignard, vindicatif,

    Pour lui montrer, dessillé, qu'il était captif,

    Que ce qu'il croyait vrai n'était que des sottises

    Soufflées par des puissants qui avaient la mainmise :

    Je me vois bien en prophète libérateur,

    Rendant aux hommes ce qu'ils ont perdu, leur cœur.

     


  • L'oligarchie politico-médiatico

    Industrielle et financière veut assurer

    Et pérenniser sur tous son autorité ;

    Les moyens pour ce faire ne sont pas très beaux !

     

    Pour se servir des peurs primaires des gogos,

    On invente des menaces sur la santé,

    On leur dit : Faites-vous vacciner,

    Mais le vaccin fait morts et malades nouveaux ;

     

    On contamine les sols, les eaux, l'air aussi,

    Se développent alors d'autres maladies :

    Le système a besoin de nombreux cancéreux.

     

    On favorise en plus la transidentité,

    Qu'il faudra évidemment médicamenter...

    Au plus grand bénéfice de parrains mafieux.





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