• Dans un monde normal, les gens pourraient penser

    Au printemps arrivant, aux lectures à faire,

    Aux plantes à planter, aux graines à semer,

    Chacun pourrait vaquer à ses petites affaires.

     

    Dans un monde normal, on irait visiter

    Les amis, les voisins, la montagne ou la mer,

    Et l'on demanderait « comment va la santé ? »

    On se promènerait, content, le nez en l'air.

     

    Mais il règne un climat saturé d'inquiétude,

    L'esprit est occupé, gêné dans ses habitudes :

    C'est la peur inculquée, toujours entretenue,

     

    Savamment orchestrée par des médias complices.

    Le fou de l'Élysée, crapule reconnue,

    Voudrait nous emmener tout droit au précipice.

     

    Il se voit chef de guerre, et de lui-même imbu,

    L'histrion joue très mal, il veut qu'on obéisse

    À ses folles lubies de gamin mal foutu.

     

    Pour cacher son bilan, il faut qu'il divertisse

    Le peuple méprisé qui l'a pourtant élu,

    Ce paltoquet vicieux, ce freluquet jocrisse.


  • Si vous les laissez faire, alors vos chers enfants

    Seront crétins, obèses, stupides, obsédés sexuels,

    Arrogants, wokisés, incultes, ils diront « iel »,

    Ou tués en Ukraine aux vœux du président.


  • Ministres, président, et les parlementaires

    Sont pour l'euthanazie, sont pour l'avortement,

    En toute cohérence, ils souhaitent la guerre :

    La culture de mort règne chez ces déments.

     

    La tête de l'état est pleine de pervers,

    De scélérats dégénérés et d'impuissants,

    Et le peuple français, passif, laisse tout faire

    À ces déchets humains gouvernés par Satan.

     

    L'anormal est la norme, et la France est salie

    Dans son être profond quand le vice s'allie

    Aux intérêts d'argent : la clique macronienne

     

    Incompétente et vile, arrogante et stupide,

    Inculte et malfaisante, évidemment cupide,

    Déshonore la France et mérite la haine.


  • Il faut débaptiser cet attristé pays :

    La France est oubliée, la France est outragée,

    Depuis qu'elle est dirigée par des enragés,

    Depuis que nous sommes entrés en Macronie.

     

    Ces gens ne savent pas ce qu'est une patrie.

    Moi, je me sens d'ici, d'un lieu identifié,

    Qui plonge ses racines dans la chrétienté.

    Mais ils sont arrivés, ceux qui ont tout sali,

     

    Les vils enlaidisseurs des jolis paysages,

    Les sots pervertisseurs de la morale sage :

    Les mondialistes, les wokes, les otaniens,

    Les néo-féministes et les macroniens

     

    Les avortons avorteurs, les euthanazieurs,

    Les va-t-en-guerre, les américanisés,

    Les électeurs de l'histrion de l'Élysée...

    La France mérite mieux que ce sort de malheur.


  • Il a tellement de crimes à se reprocher

    Qu'il voit avec angoisse le terme s'approcher

    Du mandat que d'imprudents électeurs lui firent,

    Plaçant à l'Élysée ce qu'il y a de pire.

    Il cherche donc, le scélérat, la solution,

    Pour rester au pouvoir, en président félon.

    Instaurer la censure, interdire l'expression

    De tous les opposants, permettre l'extension

    Des quinquennats permis en la Constitution.

    Et déclarer la guerre, afin d'être un recours :

    Moi, Macron 1er, viens à votre secours ;

    Et il créera des attentats, lors des maudits JO,

    Pour accuser « l'extrême-droite » et les « fachos » :

    « Je suis votre Sauveur, ayez confiance en Moi. »

    Et le peuple crédule alors acquiescera,

    Pour le faire obéir, rien de tel que la peur,

    Le mensonge, et nous verrons bien des délateurs

    Accuser leurs amis, leurs voisins, leurs parents

    D'avoir parlé en mal de « Notre Président ».

    La pseudo-pandémie fut un ballon d'essai

    Pour les nouveaux tyrans, tout a bien fonctionné...





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