En quête de profit

Il créent la maladie

Ainsi que son vaccin

Sait-on ce qu'il contient

Il donne le cancer

Conséquemment Pfizer

Va mettre sur le marché

Ce qu'il faut pour soigner

Et pendant des années

Les médicaments

Ça fait beaucoup d'argent

Et plein de bénéfices

Pour eux et leurs complices

Actionnaires repus

Gouvernants corrompus

Journalistes prêcheurs

Des grands médias menteurs

Ces pauvres cancéreux

Dociles et peureux

Feront ce qu'on leur dit

Afin d'être guéris

On ne s'insurge point

Quand la mort n'est pas loin

Le traître à la Nation a encore frappé,

Déclarant, en anglais, et aussi en Suède,

Qu'en cas de guerre la France viendrait en aide

Sur sa bombe atomique UE pouvait compter.

Mais la dissuasion nucléaire est française !

Que fait-il de l'indépendance nationale,

Ce foutriquet mondialiste de carnaval,

Qui mériterait, lui, le sort de Louis XVI ?

Crime de haute trahison, France en miettes,

Vendus par morceaux, mais augmentation des dettes !

À la tête de l'État des incompétents,

Des ignares menteurs, idiots et méprisants,

Des valets laquais, mais qui échouent, de Bruxelles.

Ma chute finale ne manque pas de sel !

Le propre d'un traître (ou plutôt le sale)

Est la trahison, faut-il s'en étonner ?

Qu'une fois puissant de le voir donner

Dans son vice su ? Rien là d'anormal.

FNSEA, ces cinq initiales

Cachent des véreux moins intéressés

Par les paysans que par la monnaie,

Serviteurs zélés du Grand Capital.

Au lieu de servir, ils vont se servir,

Par tous les moyens, afin de s'enrichir,

Au mépris des sots, qui lors d 'élections

Votèrent pour eux de façon naïve.

Le raisonnement marche pour Macron...

Quand on veut du propre on fait la lessive...

On ne peut se dire écrivain,

On ne peut se dire poète,

Dès l'instant qu'on baisse la tête :

Soumission au contemporain.

Mais que ces gens-là sont crétins,

Signant une tribune bête

Disant qu'ils et elles rejettent

Pour le Printemps Sylvain parrain,

En utilisant l'écriture

Dite inclusive... Imposture!

Savent-ils ce qu'est la beauté,

Ces gauchistes politisés ?

Leur opinion sent le moisi,

Elle traduit leur jalousie.

Il y a du comique à voir ces freluquets,

Ces minets parisiens, ces délicats mignons,

Qui n'ont pas travaillé, qui sont pleins de pognon,

Ne sachant distinguer un panais d'un navet,

Un coq d'une poule, une poule d'un poulet,

Un ail ou bien une échalote d'un oignon,

Qui font les dégoûtés devant de bons rognons,

Qui n'ont jamais tenu en leurs mains un louchet...

Il y a du comique, disais-je plus haut,

À les voir confrontés à de simples rustauds,

Se levant avant l'aube, et se couchant fort tard,

Tannés par le grand air, et toujours sur la brèche,

Tutoyant la misère, et dont les mains sont rêches,

Mais eux ont du bon sens, à défaut de costard...