• Tout ce que j'entends dire de mon cher Stan

    Me convient, me revient : pour moi, déplaire aux con-

    formistes en commettant un délit d'opinion,

    Pour eux, qui la liberté d'expression profanent, 


  • À mon tour de commenter ce faux numéro

    Du médiocre histrion, l 'élu de l'Élysée,

    Par ces cons de Français, qui ont même bissé

    Leur lamentable erreur d'un président zéro.

     

    Il pontifie, le bougre, et n'est qu'un faraud,

    Un fou qui fanfaronne, un tartuffe fieffé,

    Un menteur patenté, qui veut être écouté,

    Un imposteur accro, penchants immoraux.

     

    Il convoque au Palais d'infâmes scribouillards,

    Stupides courtisans du suprême connard,

    Acceptant bêtement de le faire valoir.

     

    On les siffle, ils accourent, ils connaissent leur rôle :

    Valoriser l'affreux, ce serait pourtant drôle

    S'ils ridiculisaient le très chiant bavard.


  • N'ai-je pas entendu qu'allait tomber la neige ?

    Grand plaisir des médias : bientôt des reportages

    En direct au jité, des flocons, des nuages,

    Des automobilistes furieux pris au piège,

     

    Des conseils avisés, parce qu'on vous protège,

    Ne sortez pas dehors, vous devez être sages,

    Pa d'école aujourd'hui, des engins de de salage,

    Des cartes du pays, des gens en télésiège...

     

    Car tout s 'est arrêté depuis ce phénomène,

    En hiver, il fait froid ; plus de guerre en Ukraine,

    En Israël, tout va bien, puisqu'on en parle plus.

     

    On vient te signaler ce que de ta fenêtre

    Tu vois évidemment : une averse apparaître,

    À ta place on ressent les degrés en surplus...


  • Le cirque médiatique intéresse-t-il quel-

    qu'un ? Les « journalistes » feignent de s'étonner

    De la défiance des Français face aux « nouvelles »,

    Face à la morale qu'ils veulent nous donner.

     

    Heures d'antenne vaines ! On le sait qu'ils sont dél-

    inquants, incompétents, à Têtu-z-abonnés,

    Mais il se fait qu'ils plaisent à Emmanuel,

    À nonce Gabriel... I' faut pas déconner !

     

    Ils ne doivent d'être nommés qu'à l'entre-soi ;

    Qui croit encor qu'ils décident quoi que ce soit ?

    Dans le marigot des médias de l'air ils brassent,

     

    Valets qu'ils sont de Macron, lui-même soumis

    À Schwab, à Bruxelles, à Davos, nos ennemis.

    Ils vont continuer, tant sont molles les masses.


  • Je m'étais cru permis de prédire

    Que l'on pouvait faire encore pire

    La prophétie paraissait risquée

    Parce que le fond semblait touché

    Ces crétins savent plus loin aller

    Copains coquins cocaïnomanes

    Pervers délinquants érotomanes

    Adeptes de la cooptation

    Préférant à la France l'Union

    Au service du Grand Capital

    Nul doute qu'il tiendra le cap Attal

    Lui qui sut séjourner comme amant

    Du véreux vérolé Vétéran

    Tout ce petit monde d'invertis

    Enlaidit mon ancien vieux pays

    Vendu dans son âme et dans sa chair

    C'est fou comme ces gens dégénèrent

    Vivement le grand coup de balai

    Toute une pourriture à ôter





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique