• Fait-on concourir ensemble dans la même course

    Un pur-sang racé, fin, souple et délié,

    Et un grossier bourrin, bête comme ses pieds,

    Une miss classieuse avec une boubourse ?

     

    Faut-il départager une énorme harengère,

    Aussi vulgaire que sotte, avec l'élégance incarnée,

    À l'indéniable charme, au langage châtié ?

    D'un côté, c'est la fée, de l'autre la mégère.

     

    Les corps sont les reflets de la valeur de l'âme

    (Ce n'est pas une loi, je parle pour ces dames).

    Mensonges et approximations sémantiques

     

    Chez l'une et vrai souci de précision chez l'autre,

    Quand l'une argumente eh bien l'autre se vautre...

    Peut-être ce débat sera-t-il un déclic ?


  • Au pied des éoliennes meurent les troupeaux,

    Au pied des éoliennes gisent les oiseaux,

    Massacrés par les pales des laides machines,

    Au sol, du béton, c'est la vie qu'on assassine ;

    Paysages enlaidis, mort de la nature,

    L'industrie se répand, étale ses ordures,

    Pour le plus grand profit de grosses entreprises,

    Jouant sur l'air du temps pour amasser les mises.

    Ces maudits engins, néfastes et inutiles,

    Sont goûtés par des écologistes débiles,

    Les mêmes qui accusent les chiens et les chats

    De provoquer le réchauffement du climat,

    Aussi de nuire à la biodiversité,

    Et voudraient que vous arrêtiez de respirer.


  • Je vomis les crétins, surtout les conformistes,

    Ceux qui se croient malins, et qui ne sont qu'idiots,

    Ils sont l'air entendu, mais sont de fieffés sots ,

    On les trouve surtout chez les ultra-gauchistes.

     

    Se prétendent certains d'entre eux écologistes ;

    Mais ils sont avant tout pitoyables bobos,

    Dont le vert vire au brun, sinistres collabos

    Des cocos, et pire, des islamo-gauchistes.

     

    On les trouve à France Inter, et à Télérama,

    Ils sont dans l'entre-soi, ils sont dans l'antifa,

    Dépourvus de culture, ils nous font la morale,

     

    Se moquent des Français, préfèrent l'étranger,

    Naïfs, ils ne voient pas quel est le vrai danger

    Qui menace la France et l'union nationale.


  • Aucune conciliation n'est possible :

    « En même temps » n'est qu'un petit slogan

    D'un petit esprit élu président,

    Mais à la logique assez peu sensible.

     

    Comment accorder ce qui n'est pas miscible :

    Du côté gauche on voit des partisans

    Du métissage ou du remplacement,

    Pour eux la France n'a rien de tangible.

     

    Du côté droit le souci national

    Est une préoccupation maximale.

    Les deux thèses ne peuvent se rejoindre.

     

    J'ai choisi mon camp : je veux que la France

    Soit toujours la France, et sa différence

    De ses avantages n'est pas le moindre.


  • Ils ont du goût pour les tueurs,

    Favorisant les avorteurs,

    Et les meurtriers de Thomas.

    Mais que fait vraiment le Darma-

    Nain qui se croit un grand géant,

    Comme tout le gouvernement,

    La plupart des parlementaires ?

    Ils mettent la France par terre.

    Le ministre de l'intérieur,

    Des ridicules est le meilleur,

    Car il est faible avec les forts

    (pour les combattre aucun effort),

    Et fait le fort avec les autres,

    Ceux qui récitent des patenôtres :

    Si tu es français catholique,

    Avec élans patriotiques,

    Tu crées la trouille du ministre,

    Qui dira, la mine sinistre :

    Je vous dissous, et pour pas cher,

    Un décret, j'en fais mon affaire ;

    Vous êtes blancs, aimez la France,

    Vous êtes dans l'intolérance,

    Dans vos assemblées vous priez,

    Alors vous êtes un danger,

    Ouste, Academia Chritiana ,

    D'accord avec les antifas,

    Je vous fais taire pour toujours,

    Vous, méchants, qui prônez l'amour,

    Vous qui n'assassinez personne,

    Ramassis de curés, de nonnes,

    Honte sur vous, chiens de chrétiens,

    Je vous hais, foi de Darmanin.

    Mais vous, mes frères musulmans,

    Mes chers amis mahométans,

    Je ne vous fais aucun reproche,

    Non, de vous je me sens si proche ;

    Promis, je vous laisse tranquille,

    Vous aimez tant la paix civile,

    Poursuivez donc votre conquête.

    Permettez-moi une requête :

    Quand vous aurez gagné la guerre,

    N'oubliez pas Moussa, chers frères.

    Même discours chez Mélanchon,

    Également chez le macron,

    Tous deux ennemis de la France,

    De sa culturelle existence.

    Le premier veut tout mélanger,

    Le second est surtout banquier,

    Idéologies opposées,

    Mais d'accord pour éliminer

    Notre grand pays, son histoire,

    Sa beauté, ce qui fit sa gloire.

    Chacun à sa vision soumis,

    Donne la France à l'ennemi :

    Pour l'un, à l'UE, à l'OTAN,

    Pour l'autre aux croyants du coran.

    Peut-être faudra-t-il se battre

    Pour que ne vienne le désastre.

     





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