• Le cirque médiatique intéresse-t-il quel-

    qu'un ? Les « journalistes » feignent de s'étonner

    De la défiance des Français face aux « nouvelles »,

    Face à la morale qu'ils veulent nous donner.

     

    Heures d'antenne vaines ! On le sait qu'ils sont dél-

    inquants, incompétents, à Têtu-z-abonnés,

    Mais il se fait qu'ils plaisent à Emmanuel,

    À nonce Gabriel... I' faut pas déconner !

     

    Ils ne doivent d'être nommés qu'à l'entre-soi ;

    Qui croit encor qu'ils décident quoi que ce soit ?

    Dans le marigot des médias de l'air ils brassent,

     

    Valets qu'ils sont de Macron, lui-même soumis

    À Schwab, à Bruxelles, à Davos, nos ennemis.

    Ils vont continuer, tant sont molles les masses.


  • Je m'étais cru permis de prédire

    Que l'on pouvait faire encore pire

    La prophétie paraissait risquée

    Parce que le fond semblait touché

    Ces crétins savent plus loin aller

    Copains coquins cocaïnomanes

    Pervers délinquants érotomanes

    Adeptes de la cooptation

    Préférant à la France l'Union

    Au service du Grand Capital

    Nul doute qu'il tiendra le cap Attal

    Lui qui sut séjourner comme amant

    Du véreux vérolé Vétéran

    Tout ce petit monde d'invertis

    Enlaidit mon ancien vieux pays

    Vendu dans son âme et dans sa chair

    C'est fou comme ces gens dégénèrent

    Vivement le grand coup de balai

    Toute une pourriture à ôter


  • Durant de nombreux mois, un sinistre duo,

    Les clowns Véran-Castex, sans vergogne squattèrent

    Les écrans, les esprits, pour tous les soirs nous faire

    Un macabre décompte, épidémique et faux

     

    Il fallait inquiéter, effrayer les gogos,

    Surtout faire plaisir au commercial Pfizer,

    Au vicieux McKinsey, à l'achetée Vander-

    -leyen la corrompue... On piqua à gogo.

     

    Maintenant on le sait, les vaccins font des morts,

    Entend-on s'exprimer le plus petit remords ?

    Puisqu'on aime les tristes comptabilités,

     

    Pourquoi donc tous les soirs n'énumère-t-on pas

    Toutes les victimes mortes d'être vaccinées ?

    Indemnisera-ton ceux qu'on handicapa ?


  • N'étant en rien féru quant à l'économie,

    Nul commentaire ici sur le Jacques Delors

    Qui s'occupa des sous, du franc nouveau, de l'or,

    Je dirai ci-dessous trois de ses idioties.

     

    Socialiste et chrétien, mais quelle hypocrisie !

    Un vrai catholique ne peut être d'accord

    Avec la gauche athée, donc le Jacques avait tort ;

    Probablement sincère, il avait mal choisi.

     

    Deuxièmement, Delors fut un grand artisan

    Du traité de Schengen, Quand on voit le bilan

    On se dit que le Jacques était vraiment naïf.

     

    Troisièmement ce gars commit l'erreur fatale

    D'engendrer la Martine, il en est le fautif

    À demi seulement : la moitié séminale.


  • Au berceau de Thaïs, ô fées, vous vous penchâtes,

    Et vous fûtes en tout prodigues de vos dons :

    Divinement bénie vint Thaïs d'Escufon,

    Qui mérite louange, en forme de cantate.

     

    Ce modeste sonnet fut conçu dans la hâte

    Pour donner à Thaïs mon réconfort profond

    En ces jours dangereux (la haine est sans pardon),

    Où l'élégante fille affronte l'ire ingrate.

     

    Je suis de ses combats, mus par des analyses

    Pleines d'intelligence, étayées et précises.

    Dire la vérité déplaît aux paltoquets :

     

    Ils croient la détenir, trompeurs idéologues,

    Voudraient vous transformer en leurs sots perroquets,

    Mais Thaïs n'obéit à ces Gog et Magog.





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