• La bien-pensance est active sur les plateaux,

    Débitant des propos attendus et stupides,

    Éloignée du réel, le déni est son guide,

    Avec son moralisme : on croit les gens idiots.

     

    Pourtant les gens, les vrais, qui ne sont pas bobos,

    Qui travaillent vraiment, ne sont pas si candides :

    Ils savent d'où viennent les vols et les homicides,

    Ils en ont assez qu'on les traite de fachos,

     

    Et de cette pseudo-sociologie d'excuse,

    De ces sots slogans tellement repris qu'ils s'usent,

    De ces prêcheurs professionnels, dont les discours

     

    Disent le parti-pris ; savent-ils qu'ils nourrissent,

    Par leur mauvaise foi, qu'ils rendent des services

    À « l'extrême-droite », de marine à Zemmour ?


  • La mauvaise foi de ces gens-là désespère ;

    Ils semblent croire à ce qu'ils disent, les salauds ;

    Ils sont dans le déni, c'est la gauche bobo,

    Ils ne veulent pas voir, ou voient tout de travers.

     

    Car leur grille idéologique est mortifère,

    Qui leur fait approuver certains coups de couteau.

    Si tu les contredis, c'est que t'es un facho...

    Dans la réalité, ils n'ont plus les repères.

     

    Aux fils de France, aux bien éduqués, ils préfèrent

    Les racailleux des cités, ceux qui prolifèrent ;

    Incultes et violents, stupides et brutaux,

     

    Ils haïssent les blancs, sont sans vocabulaire,

    Mais non pas sans allocs. La gauche les vénère,

    Les défend, les excuse, en utiles idiots.


  • On les connaît pour des poisons :

    Ils provoquent des maladies,

    Même des morts ; Pas interdits

    Pourtant, mais pour quelle raison ?

     

    On pourrit l'alimentation,

    Tout ce qu'on met dans le caddie,

    Jusqu'au plus humble des radis,

    Aussi l'air que nous respirons.

     

    On sait, on ne fait rien... Pourquoi ?

    Ce laisser-aller est un choix !

    À qui profite donc le crime ?

     

    Certains trouvent de l'intérêt

    À ce coupable état de fait,

    Et dansent au bord de l'abîme.


  • Je ne supporte pas les prêches orientés

    De l'abbé Effème,

    Ses sermons convenus de fausse sainteté :

    C'est toujours les mêmes.

     

    Il est très indulgent, ce sot prédicateur,

    Non pour le Seigneur,

    Mais pour les saigneurs,

    Et ne nomme pas l'origine du malheur.

     

    Même le pire crime est l'occasion pour lui

    De minimiser,

    Pour mieux accuser

    Les vilains, les pas beaux, les méchants, les nazis.

     

    On sait pourtant d'où vient la racaille assassine,

    Mais il faut le taire,

    Le vrai, on l'enterre,

    Pour lui préférer sa dose de moraline.

     

    Ces pseudo-reporters ne font pas leur travail,

    Du haut de leur chaire,

    Envers leurs ouailles,

    Ils confondent Zemmour avec Adolf Hitler.

     

    Comme les victimes sont de mauvaise race,

    Ils l'on bien cherché.

    Tueurs excusés,

    Car opprimés, tués logiquement trépassent.

     

    Ce n'est rien : on mettra des bougies sur les lieux,

    Des marches on fera,

    Et « Plus jamais ça »,

    « Vous n'aurez pas ma haine », c’est bien mieux !


  • Nos gouvernants ne sont pas des irresponsables :

    Le sang qui gicle des gorges tranchées françaises

    Éclabousse de haut en bas ces incapables

    Qui ne font rien, sauf à débiter des fadaises.

     

    Leurs alliés, les médias, parleurs infatigables,

    Quand il s'agit de nommer les causes, se taisent.

    On veut nous émouvoir du sort d'un gars coupable,

    On passe sous silence des faits, ou l'on biaise.

     

    Ainsi sont assassinés des compatriotes

    Par des fanatisés, pour des raisons idiotes :

    Un racisme anti-blanc, qu'encouragent certains,

     

    Des prêcheurs musulmans, mais aussi des crétins,

    Pleins de sociologie, les pseudo-progressistes,

    Les dirigeants passifs devant les islamistes.





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