• En ce temps incertains, célébrons l'amitié,

    Et l'Amour, remèdes à la morosité.


  • « J'écris pour venger ma race », dit la raclure,

    On n'est alors nullement en littérature !

    J'évite de placer le mot « race » à la rime,

    Car des mots en « -asse », cependant légitimes,

    Me viennent à l'esprit, mais ils sont grossiers,

    Comme « Duras », « pouffiasse », eh bien, je les tairai.

    Elle dit aussi : « J'écris pour venger mon sexe »,

    ... La voyant, on comprend qu'elle ait de vrais complexes.

    De nos belles n'étant, fallait que tu pétasses

    Un discours à la noix, politique et fadasse.

    J'y vois comme un symbole illustratif et rance

    Du déclin prononcé de notre pauvre France.

    Il n'y a vraiment pas de quoi se glorifier

    D'un titre à cette femme infâme attribué.


  • Si nous voulons être champions,

    Il va falloir battre l'Albion.


  • Le vent et le soleil, étant intermittents,

    Ne sauraient nous combler quant à notre énergie;

    Le pétrole et le gaz ? Non ! Dit l'écologie.

    Comment produire alors notre courant manquant ?

     

    Je n'oublie pas non plus un autre équipement,

    Décrié du bobo, qui vite réagit

    Quand on dit nucléaire, il proteste et rugit.

    Quels moyens restent donc pour avoir du courant ?

     

    Ma proposition n'a que des avantages :

    Pas de pollution, pas de délestages ;

    Il s'agit d'équiper tous les lieux habités

     

    De vélos reliés au système électrique,

    Suffit de pédaler de manière cyclique !

    Et l'exercice, en plus, c'est bon pour la santé...


  • Quand la nuit dans mon lit je subis l'insomnie,

    Je m'ennuie, ou je lis, ou j'écris, à l'amie.