• Les néo-féministes sont une poignée,

    Alors pourquoi leur accorder tant d'importance ?

    Elles sont sottes et pleines de violence,

    Et cependant la terreur elles font régner.

     

    Elles adoptent la stratégie de l'araignée :

    Elles tissent sur tout leur sale toile immense,

    Bavassent des propos sans nulle compétence,

    Et font avec leur théorie des prisonniers.

     

    Les médias complaisants leur ouvrent les micros :

    Les mâles sont forcément des fachos-machos.

    Partout ces excitées répètent leurs bêtises,

     

    Elles en inventent de toujours plus mauvaises,

    Elles s'attaquent même à la langue française :

    L'écriture inclusive... Que faut-il que j'en dise ?


  • Si je demande à mon bon charcutier un boudin noir...

    Suis-je sexiste ? Raciste ? Grossophobe notoire ?


  • Entre la poésie et la sociologie,

    Il faut choisir la poésie :

    On dira moins de conneries.

    Entre l'écologie et la nature,

    Il faut choisir la nature, à coup sûr :

    L'écologie d'EELV est forfaiture :

    Vouloir des éoliennes, des panneaux solaires,

    Jeter absolument l'énergie nucléaire,

    Et dire que tout le mal vient des milliardaires,

    C'est idiot, c'est simpliste, c'est tout faux,

    Ça ressemble à du Sandrine Rousseau !

    Or, Marine, où étiez-vous avant Sciences-Po ?

    Eh oui, je vous connus comme étudiante,

    Vous étiez dynamique et souriante...

    Je trouve votre évolution affligeante.

    Vous auriez dû approfondir les Lettres,

    Plutôt que la socio, car il faut reconnaître

    Qu 'elle rend crétins, même de bons êtres.

    Mon sinistre collègue vous a déformée,

    L'IEP-Lille n'a, bien sûr, rien arrangé !

    Oh ! Je vous plains, chère Marine Tondelier.


  • Quand les mous tonnent, quand les molles tonnent,

    C'est toujours pour leur confort de beaufs atones.

     

    NB J'ai entendu ce midi sur France Culture un metteur en scène répétant à l'envi "chacune et chacun". Je ne peux m'empêcher de fermer le poste devant tant de sottise moutonnière.


  • Le marmot Zelensky crie et tape de pied :

    « Je veux des gros fusils, beaucoup des gros fusils.

    Vous êtes des méchants si pas me les donnez.

    J'en veux, j'en veux, j'en veux. Faisez ce que je dis. »

     

    Le gamin colérique est tellement chiant

    Qu'on fait ce qu'il demande : on lui donne bientôt

    Les fusils réclamés. Quand hurlent les enfants

    On achète la paix (malheureux est le mot!)

     

    « Dis merci maintenant. » Mais le petit tyran

    Dans ses habits kakis n'est toujours pas content :

    « Non, pas merci ! Je veux maintenant des missiles

    De toutes les couleurs, des sol-air, des lunaires... »

    Petit Volodymyr étant un peu débile,

    Alors l'OTAN, l'UE, parents démissionnaires,

    Lui donnèrent des stocks, qu'ils avaient en surplus.

    Croyez-vous qu'au geignard tout cet armement plut?

    Toujours pas. « Je veux des chars ». « Tiens, voilà des chars. »

    «  Non, ils sont trop petits. Des gros ! » dit le moutard.

     

    Fallait-il céder encore au protestataire,

    Au risque couru d'une guerre nucléaire ?