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Le rat rayonnant, c'est alors un rat dieu.
Le rat qui sourit ne saurait être odieux
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Monarchiste et réactionnaire que je suis,
Je ne saurais laisser passer cette journée
Sans rendre mon hommage au roi décapité...
(Je doute fort que l'ait progressé depuis).
On a cruellement fait souffrir icelui
Qui était roi de France. Est-ce que le tuer,
Au plein cœur de l'hiver, un vingt-et-un janvier,
Par du mieux, du meilleur, un progrès s'est traduit ?
Je pense aussi à toutes les pauvres victimes
De rouges enragés, qui commirent leurs crimes
Au nom de leur idéal de révolution.
La France, devenue république laïque,
En est-elle grandie ? Vraiment je suis sceptique
Quand je vois à sa tête un président Macron...
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Il s'en passe de belles sur l'île de Ré :
Voilà que des excités, d'une vilaine caste,
Pris d'une fureur sotte et iconoclaste,
Se croyant audacieux, mais en fait vrais tarés,
Veulent enlever, ces esprits égarés,
Une simple statue, discrète et sans nul faste.
Quelle fureur vous prend, stupides agélastes,
Quelle est la maladie, soudaine et déclarée ?
Et la justice ordonne alors le démontage
De l'objet dangereux pour tout le voisinage !
Est-ce là, dites-moi, votre laïcité ?
Il faut avouer ici que la Vierge Marie
Est le sujet figé provoquant la furie
De quelques sectaires, bêtes et agités.
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Certes le roi couronné m'assit reine,
Certes il me dit tendrement « Ma sirène »,
Mais je sais qu'il me trompe : il masse Irène,
Il a laissé pour elle, au mas, six rennes...
« J'éprouve pour ce cinéma, Sire, haine ! »