• Ils font tout pour que la guerre dure longtemps,

    Les marchands d'armes, tous les états de l'OTAN.


  • Au sommet de l'état, notoire incompétence :

    Des courtisans, des apprentis, des sots, des bons à rien...

    C'était triste avant eux, mais les cons macroniens

    Accélèrent le mouvement de décadence.

     

    Ils vont sur les plateaux, bouffis de suffisance,

    Débitant sottise sur mensonge, ces crétins,

    Ces crétines aussi, car, côté féminin,

    Quant à la connerie, forte est la concurrence*.

     

    Et maintenant Brigitte ! Elle se prend pour qui ?

    Aussi stupide que son président-mari.

    Sa légitimité ? Elle n'en a aucune !

     

    La France est dirigée par la médiocrité ;

    Et sont à l'assemblée de vilains députés.

    Voici venu le temps des actions opportunes.

     

    *N'Diaye, Rousseau, Agnès Pannier-Runacher, ...

    Qu'y avons gagné? Des nulles à nénés...


  • On vit soudain l'homme seul émettre un sec rire :

    Il était tellement seul qu'il pensa s'écrire !


  • Zinedine est icône et Zidane est un con.

    Il se sert de sa tête, oh, pas pour réfléchir,

    Oui, pour marquer des buts : on a le souvenir

    Particulièrement du Brésil, deux au fond.

     

    Étranges ces deux buts, j'eus lors cette impression...

    Pourquoi si démarqué ? L'a-t-on laissé agir ?

    En France il fallait la coupe à la France offrir...

    Nous le savons, truquées sont les compétitions.

     

    Et puis, huit ans plus tard, revint le sot kabyle :

    Un autre coup de boule, complètement débile,

    Qui coûta la victoire à l'équipe de France...

     

    En voilà des manières ! Ce n'est guère exemplaire,

    Un grand joueur se doit de maîtriser ses nerfs.

    Déconne alors l'icône. Avant d'agir, on pense !


  • Ils font des erreurs, ils font des calculs,

    Pour les faire payer, à qui ? À nous, les nuls !

     

    Ou bien

    Ils font des calculs, ils font des erreurs,

    Pour les faire payer au peuple du labeur.