Un adverbe curieux, indubitablement :

Il est paradoxal, c'est l'adverbe vraiment.

L'insecte et la fleur

Ont mêmes couleurs

Mimétisme étrange

Quand celui qui mange

Et celle mangée

Ont à partager

Teinte identiques

Entre noir tragique

Et jaune orangé

Tout ensoleillé

C'est maintenant

Que je ressens

Ma pariatude

J'avoue c'est rude

D'être privé

Du sport aimé

De ses échanges

Des coups étranges

Que j'exécute

Sans autre but

Que le plaisir

Qui fait sourire

Pas vacciné

Nez pas touché

Je ne veux pas

Présenter à

Qui que ce soit

Le fameux code

Tant à la mode

Suis-je têtu

Dans ce refus

Ce choix est mien

Point n'y reviens

Coupables sont

L'affreux Macron

Députés vils

Nuls et serviles

Les assemblées

Les conseillers

Avalisant

Stupidement

Cette injustice

Séparatrice

Où liberté

Égalité

Fraternité

On a créé

Des sous-Français

J'en fais partie

Et je subis

La tyrannie

Plus prosaïquement, on me dit « tu es libre, mais si tu n'uses pas bien de ta liberté, tu seras puni ». On me dit « tous les Français sont égaux », mais je me sens moins égal que d'autres, et qu'on ne me parle pas de fraternité ! Quand son frère est brimé , on vient à son secours...

Toujours ces masques, inutiles et emmerdants.

Je me plains, et je vous plains, mes chers étudiants.

Oh les jolies demoiselles

Elles ouvrent de grands yeux

Dans un léger déhanché

Elles disent Nous sommes belles

Est notre teint délicieux

Nous trompettons la beauté