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Bien « chez soi », ça c’est sûr, mais ce choix ne s'assoit
Que sur des sciences sues, issues d'influenceuses
Qui laissent savamment leurs aides précieuses
Sur les résossossots, où sue l'entre-soi.
Concession cependant (faute qu'on s'avoue doit
Être, n'est-ce pas, pardonnée, c'est spécieuse
Leçon, même si c'est sa moitié vicieuse).
Ici la digression s'achève et ... strophe trois :
C'est moi la strophe trois, dite premier tercet,
Quel est donc de cette « concession » le secret ?
Je concède, disais-je avant l'interruption,
Que se sentir « chez soi » bien (audacieuse césure),
Eh bien, ça fait du bien, pour que je m'en assure,
Mon chemin mène à Mona, diva d'édition.
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Petit pédant, connais-tu la délicatesse ?
As-tu déjà joui d'autre chose que toi,
Que te fait la beauté ? Tu te prends pour un roi
Que tu n'es pas : tu navigues dans la bassesse.
As-tu, petit garçon, manqué de la tendresse
Qu'une douce maman de répandre se doit ?
As-tu, vil garnement, été privé de loi,
Sans père véritable, éduqué comme altesse ?
Qu'as-tu fait, scélérat, de tes humanités ?
Ta culture est vernis, sa seule utilité,
Parvenir ! Oui, mais où ? De Paul Ricœur à la banque,
Quel parcours ! Mais, resté gamin capricieux,
Tu voulais des jouets toujours plus précieux :
Te voilà président, président à la manque !
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Avoir un tel déchet comme chef de l'état,
Ou des approbateurs de cette merde en tas ?
Pire qu'un con, Macron est un sale pervers,
Dans ses mots, dans sa vie, et dans son caractère.
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Ici, j'essaie d'esquiver l’agaçant, l'attendu :
Les sujets rebattus lassent les consciences,
Ressasser, ressasser, nargue la patience,
Enlaidit l'ambiance et rend les gens tendus.
Il ne faut répéter les refrains entendus,
Arguments fallacieux de la méconnaissance,
Raisonnements spécieux, en dépit du bon sens.
Jamais la jolie joie ne nous fut autant due ;
Elle ne viendra pas des lugubres écrans,
Ni de la pluie raide qui tombe tout le temps,
Non, la joie se conquiert, soyons volontaristes :
À sa rencontre allons, créons les conditions
Qui donnent naissance à son émanation,
Remède simple et beau contre les passions tristes.