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Moi qui pensais qu'avec Sarkozy,
Et Cécilia, et Carla Bruni,
Moi qui pensais qu'avec l'autre Hollande,
Léonarda, scooter, Valérie,
Ce n'est plus possible qu'on descende,
J'oubliais Julie, je suis perdu,
Dans toutes ces histoires de cul,
Moi qui pensais, ci-dessus disais-je
(Et encore à ce sujet j'abrège) :
Que c'était vraiment le fond du fond,
Eh bien, non : voici venu Macron,
Narcissique, incompétent, vulgaire,
Colérique adolescent pervers,
Indigne des fonctions qu'il occupe,
Comment devant ce fat être dupe ?
Subirons-nous encore cinq ans
Ce gamin capricieux, ce tyran
Dont la médiocrité n'a d'égale
Que sa méchanceté abyssale.
Il faut de son trône le descendre,
Il faut à ce garnement apprendre
Ce qu'est la vie, la vraie vie des gens,
Mais est-il assez intelligent
Pour comprendre ? Est-on assez subtil
Quand on n'admire que son nombril ?
Faut-il un coup d'état militaire
Pour le mettre pour toujours à terre ?
Puis en prison, pour ses trahisons,
Du peuple, et de la Constitution.
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Un narcissique immature au pouvoir ne veut
Être contredit, en ce cas, caca nerveux.
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Je ne me suis pas fait vacciner,
Soit, mais je suis pas « non-vacciné »,
Je suis normal,
Je n'ai rien fait de mal,
Je refuse l'inacceptable,
Je ne suis donc pas « irresponsable »,
Au contraire,
Mes frères,
Quand un ordre est idiot,
Il ne faut
Pas s'y soumettre,
Quand inapte est le maître,
Il faut le dégager,
Et puis le juger :
« Accusé, levez-vous »,
« Mais je suis debout ! »
« Donnez votre nom »
« Emmanuel Macron.»
« Je ne vous demande pas de jurer,
Car vous êtes menteur assuré .
Vos avocats ? »
« Attal et Benalla. »
« Vous êtes indéfendable
Car coupable
D'indignité,
De vulgarité,
Verbale
Et morale.
Qu'allons-nous faire de vous
Sous les écrous ?
Des travaux intellectuels
Et manuels
En même temps,
Petit tyran. »
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Sois rouge ô ma colère, et tiens-toi moins tranquille :
Fracasse-lui la gueule à ce pauvre imbécile.