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S'ils n'influençaient pas des gens que j'aime bien
Je n'en parlerais pas, de ces crétins vauriens.
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Ceux qui sont chargés de transmettre la culture, les professeurs, sont eux-mêmes de moins en moins cultivés ; comme pour le bac où plus le niveau baisse, plus les notes montent, plus le nombre d'années de formation augmente, et moins les connaissances sont nombreuses et maîtrisées. Peu de candidats aux concours d'enseignement, s'inscrire, c'est déjà l'avoir. Certains de ces professeurs, je crains qu'ils ne soient nombreux, sont gagnés par la bêtise idéologique ambiante, et n'enseignent plus, n'éduquent plus. Les cours, que dis-je cours, les débats, sont faits par les élèves, et, comme tout se vaut, on préfère parler de jeux vidéos, de TPMP, d'instagram, de hip-hop, d'inclusivité, de BLM, de transgenrité, de patriarcat, de VMB, plutôt que de se frotter aux grands textes. On dit chercher à éveiller l'esprit critique, mais il ne doit servir que les thèses en vigueur, propagées par la bien-pensance. Au lieu de hausser le niveau des élèves (appelés « apprenants » depuis qu'ils n'apprennent plus rien), en les invitant à se risquer dans les régions intellectuelles et sensibles où l'air est encore pur, on préfère se vautrer avec eux dans les marais putrides du simplisme résossossoté. L'école n'est plus le temple du savoir, mais un lieu de propagande LGBTetc., planning familial, mélanchonisme, inclusivité, et autres fariboles gauchistes. Résultat, les petits Français ne savent plus lire, écrire, compter, et encore moins réfléchir. On ne suscite chez eux aucune envie d'être toujours plus cultivé dans ce lieu scolaire qui devrait être imperméable aux influences délétères des écrans, reflets d'une société à la dérive. Les gouvernants (les pantins politiques et les grands industriels qui en tirent les ficelles, la mafia du pouvoir, autrement dit) ont tout intérêt à cet abrutissement généralisé : la culture permettant la distance et l'analyse, il ne faut pas donner cet instrument aux gens, c'est de cons sommés dont ils ont besoin, pour faire tourner leur machine à consommer.
La culture, c'est aussi ce qui permet de différencier des groupes humains, c'est pourquoi les mondialistes la considèrent comme une ennemie à abattre. Ils veulent réduire chaque individu à sa condition d’acheteur de leurs produits aussi standardisés qu'inutiles, addictifs qu'abêtissants.
C'est quand on est cultivé qu'il est possible de discerner les mécanismes, les coulisses, les arrière-pensées, les ressorts de la propagande : chaque jour les médias, à la solde du système, inventent de nouveaux « débats », stériles, artificiels, vicieux, vains, divertissements pour peuples à émouvoir.
Il faut faire croire aux individus qu'ils sont libres, qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent de leur vie, seul horizon qui vaille, non sans les avoir préalablement lobotomisés avec des slogans et des pratiques directement issues du wokisme. Liberté factice donc.
L'humanité chute, poussée par ses dirigeants, dans le gouffre de la stupidité mortelle.
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Le suivisme actuel est vraiment sidérant :
Plus la thèse est stupide et plus la mode prend !
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Ils veulent tout mettre en doute
Ils n'en ont pas pourtant
Se voient intelligents
Disant En avant toute
Car ils sont progressistes
Ils votent Mélanchon
Même parfois Macron
Parce qu'ils sont wokistes
Non au patriarcat
Vilains sont mâles blancs
L'anormal est normal
Et Marlène est Schiappa
Pendant que meurt la terre
Ils inventent des causes
Bizarre est leur psychose
Qu'ils ne savent pas taire
Décadence évidente
De l'ego sans limites
Tant de sottises dites
Par ces sycophantes
Vite un coup de balai
Nettoyer la vermine
Il faut qu'on l'élimine
Sous peine d'en crever
Idéologues sots
Se voulant déconstruits
Mais cochon n'est pas truie
Génisse n'est pas veau