• Journaux des chaînes de Radio-France depuis hier soir : publicités pour l'avortement (les gentilles mexicaines accueillent à bras (et à tombeaux) ouverts leurs sœurs de lutte états-uniennes afin qu'elles puissent avorter de leur côté de la frontière), et pour l'euthanasie (nous sommes vraiment en retard en France sur ce sujet, même nos voisins belges font mieux, la honte!). Ce ne sont pas là des « informations », mais de la propagande, conforme à la culture de mort prônée par cette gauche bien mal-pensante, faisant la leçon au peuple abruti pour lui dire où sont la lumière, la vérité, et l'avis à avoir.

    Et que dire du traitement très orienté dans une affaire de maillot LGBTéisé qu'un joueur refusa de porter !


  • Il est musulman, provenant de l’Afrique,

    Décidé, décrié, ... Il m'est très sympathique !

    ou

    Lui bon Sénégalais, Idrissa Gana Gueye,

    Sa belle décision mon défaitisme égaye !


  • Lapinette dit à Maman lapin,

    Qu'il arrive de dénommer lapine.

    De l'appeler ainsi je me retiens,

    Évitant équivoque libertine.

    Il faut que je retourne à mes moutons.

    Mû vraiment d'une ardeur rabelaisienne,

    J'ai pris telle quelle l'expression,

    Je la remplace donc par une mienne :

    Je retourne aux lapins convient mieux,

    Compte tenu des héros de l'histoire.

     

    Je reprends aux alentours du vers deux,

    Sans la digression superfétatoire.

    « Maman, c'est vrai que je suis une fille ? »

    « Oui ma fille, lui répondit sa mère. »

    « Mais pourtant je joue au ballon, aux billes,

    Au foute avec mon père, avec mes frères ! »

    « Et alors, lui rétorqua sa maman ?

    Voudrais-tu par hasard changer de sexe ? »

    « On le peut maman ? On le peut vraiment ? »

    « Mais oui, tu seras garçon sans complexe. »

    « Oh merci », dit gravement lapinette.

    Un peu plus tard la voilà lapinet,

    Finis les nœuds roses, finies les couettes,

    Le changement fut total et complet.

    Après une période d'euphorie,

    Celle qui fut femelle maintenant mâle

    Ressentit une mélancolie :

    « Je sens quelque chose de pas normal... »

    Elle regretta sa métamorphose,

    Reprocha l'acceptation parentale,

    Sombra en une profonde névrose,

    Et fit quelques séjours à l'hôpital.

    Un jour, alors qu'elle traînait sa tristesse,

    Elle vit un chat curieusement botté

    Préparer un piège plein de finesse

    Destiné à des lapins délurés.

    Elle vit là l'occasion d'en finir

    En se glissant librement dans le sac :

    Plus de tourments, ni plus de repentir,

    Pas besoin de se jeter dans un lac :

    « J'entre en gré dans le piège et dans le conte :

    Le lapin pris de Perrault, c'était moi,

    Je m'aimais mieux lapine en fin de compte."

    Moralité : il faut s'assumer soi.


  • S'ils n'influençaient pas des gens que j'aime bien

    Je n'en parlerais pas, de ces crétins vauriens.


  • Ceux qui sont chargés de transmettre la culture, les professeurs, sont eux-mêmes de moins en moins cultivés ; comme pour le bac où plus le niveau baisse, plus les notes montent, plus le nombre d'années de formation augmente, et moins les connaissances sont nombreuses et maîtrisées. Peu de candidats aux concours d'enseignement, s'inscrire, c'est déjà l'avoir. Certains de ces professeurs, je crains qu'ils ne soient nombreux, sont gagnés par la bêtise idéologique ambiante, et n'enseignent plus, n'éduquent plus. Les cours, que dis-je cours, les débats, sont faits par les élèves, et, comme tout se vaut, on préfère parler de jeux vidéos, de TPMP, d'instagram, de hip-hop, d'inclusivité, de BLM, de transgenrité, de patriarcat, de VMB, plutôt que de se frotter aux grands textes. On dit chercher à éveiller l'esprit critique, mais il ne doit servir que les thèses en vigueur, propagées par la bien-pensance. Au lieu de hausser le niveau des élèves (appelés « apprenants » depuis qu'ils n'apprennent plus rien), en les invitant à se risquer dans les régions intellectuelles et sensibles où l'air est encore pur, on préfère se vautrer avec eux dans les marais putrides du simplisme résossossoté. L'école n'est plus le temple du savoir, mais un lieu de propagande LGBTetc., planning familial, mélanchonisme, inclusivité, et autres fariboles gauchistes. Résultat, les petits Français ne savent plus lire, écrire, compter, et encore moins réfléchir. On ne suscite chez eux aucune envie d'être toujours plus cultivé dans ce lieu scolaire qui devrait être imperméable aux influences délétères des écrans, reflets d'une société à la dérive. Les gouvernants (les pantins politiques et les grands industriels qui en tirent les ficelles, la mafia du pouvoir, autrement dit) ont tout intérêt à cet abrutissement généralisé : la culture permettant la distance et l'analyse, il ne faut pas donner cet instrument aux gens, c'est de cons sommés dont ils ont besoin, pour faire tourner leur machine à consommer.

    La culture, c'est aussi ce qui permet de différencier des groupes humains, c'est pourquoi les mondialistes la considèrent comme une ennemie à abattre. Ils veulent réduire chaque individu à sa condition d’acheteur de leurs produits aussi standardisés qu'inutiles, addictifs qu'abêtissants.

    C'est quand on est cultivé qu'il est possible de discerner les mécanismes, les coulisses, les arrière-pensées, les ressorts de la propagande : chaque jour les médias, à la solde du système, inventent de nouveaux « débats », stériles, artificiels, vicieux, vains, divertissements pour peuples à émouvoir.

    Il faut faire croire aux individus qu'ils sont libres, qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent de leur vie, seul horizon qui vaille, non sans les avoir préalablement lobotomisés avec des slogans et des pratiques directement issues du wokisme. Liberté factice donc.

    L'humanité chute, poussée par ses dirigeants, dans le gouffre de la stupidité mortelle.