• Peut-on encore enseigner la finesse aux cons,

    Qui ont sucé le lait des télé-réalités,

    À qui l'on a jamais appris l'art de penser,

    Laissés face aux écrans depuis le biberon ?

     

    Issus de géniteurs dont l'auto-centration

    A conduits leurs enfants à la débilité,

    Confiés à une école avachie, wokisée.

    L'enseignement décroît, quant à l'éducation...

     

    Alors dans ce tableau, dans ce triste contexte,

    Peut-on encore faire apprécier un beau texte,

    Peut-on faire accéder aux charmes de la nuance,

     

    À des crétinisés ne connaissant la honte,

    Car plus le niveau baisse, plus les notes montent ?

    Reste-t-il une place à la culture en France ?


  • Déclin, deuil. S'il faut en croire l'expérience,

    C'est le lot de toute vie (aussi de la France)...


  • Le vent, la pluie, l'automne enfin se manifeste.

    Il faut rentrer le bois,

    Pour ne pas avoir froid.

    Reviennent en ces temps d'humidité des gestes

     

    Qu'on avait oubliés, mais par cet air d'ouest,

    Nécessité fait loi :

    On s'enferme chez soi,

    Pour des activités sereines et modestes.

     

    Près de l'âtre, un fauteuil, un livre dans les mains...

    On rêve à ces destins

    Que nous ne vivons pas, pourtant ces personnages,

     

    Ces êtres de papier

    Prennent au fil des pages

    Une telle épaisseur qu'on ressent l'amitié.


  • Faut toujours écouter ce que le homard dit...

    Que dit-il ? Il dit : « Vivement le haut mardi ! »


  • Papillon de novembre!