• Le moyen de mettre à mal le gouvernement

    Est de se dégager des conditionnements.

     


  • Pleurer son absence est une maladie d'yeux.

    Le désespoir est ce qui fait mal a dit Dieu.


  • On fait des gens égoïstes, matérialistes, 

    Ils en oublient d'être, seulement ils existent.


  • IA IA, on dirait un âne qui braie,

    Entendre ces idiots idolâtres m'effraie.


  • Je viens de lancer #SorryChristmas sur mon touiteur. Allez-y. Mettez-y du cœur, et des flèches! Il s'agit d'inviter à l'indépendance souhaitable à l'égard des modes, de la consommation, de l'américanisation de notre France. Il s'agit d'envisager cette période comme étant du côté du don et du cadeau certes, mais sous des formes non commerciales: sourires, amitié, simplicité, cadeaux fabriqués par soi-même: textes, dessins, invitation à aller se promener dans ce qui reste de belle campagne, etc.

    De plus, j'ai eu la chance d'avoir comme père ... mon père, grand ennemi de l'affreux malhomme rouge. Je mène cette campagne en fidélité à la mémoire paternelle. Quand on aime la vérité, on aime Noël, mais pas comme on nous dit de le pratiquer, en achetant, en consommant, en faisant tourner la grande machine qui nous mène à la catastrophe. Non, on aime Noël en disant aux proches qu'on les aime, en créant des occasions de passer de bons moments, oubliant la morosité dans laquelle on veut nous enfermer.

    Le double distique, que l'on peut considérer donc comme un quatrain:

    Pas d'achats de Noël. C'est l'occasion rêvée

    De la joie sans l'objet. Que la simplicité.

    Mort au démon rouge de la consommation,

    D'en être les instruments soumis refusons.