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Mon pauvre gauchiste et nordiste Adrien,
Ben alors, comme ça, paraît que t'es vilain ?
(Certaines savent se montrer exaspérantes,
Tellement qu'une baffe méritée, ça tente...)
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Le grand ennui vide des jours
Pourrit lentement l'existence,
Creuse et vaine quand on y pense :
On ne soulève un poids si lourd.
Aux cris plaintifs le destin sourd
Ne répond rien. Et son silence
Ouvre plus grande la béance
De quiconque cherche un secours.
Et s'approfondit la détresse
De qui supplie pour qu'apparaisse
L'ombre du début d'un espoir,
Pour que cesse enfin l'infortune...
Hélas, ne se devine aucune
Lueur à l'horizon noir.
Quand je suis dans ma solitude,
Je demande à ma volonté
D'heureusement s'orienter,
Car mon destin n'est pas si rude.
L'Amour m'élève aux altitudes
Heureuses de félicité,
Délicieuses d volupté,
Sublimes de béatitude.
Je pense à ma chère âme-sœur,
Ma Muse pleine de douceur,
À son pur et charmant sourire,
À l'harmonie de nos deux êtres,
À ma chance de la connaître,
À ce qui se fait ressentir.
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La cause de très nombreuses aberrations
Est à chercher du côté de la corruption.
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Les femmes ne devraient faire de politique ;
Qu'elles laissent ce jeu pervers aux hommes,
Qu'elles agissent plus discrètement, comme
Elles le firent depuis l'ère antique.
L'homme est par nature diabolique,
Il pousse les vices au maximum,
Même si de « sexe fort » on le nomme,
Il est faible, ce crétin pathétique.
La femme étant par essence angélique,
Ce qui la corrompt la rend maléfique
(Rappelez-vous l'histoire de la pomme).
Mais le mal va mal avec son physique,
Elle dont est charmante la plastique...
Femme politique, oxymore en somme.