• Toujours des rêves

    Forcément j'y pense comment n'y pas penser

    J'imagine de charmantes scènes lascives

    Et diverses ouvertures de perspectives

    Des exaltations et des soupirs insensés

     

    C'est assez souffert des cruautés du passé

    Voir enfin le bonheur espéré qui arrive

    Sous les traits de celle qui la vie enjolive

    La plénitude que rien ne peut dépasser

     

    Rêver mais rester dans les limites du rêve

    Puisqu'il faudra que nécessairement s'achève

    La visite gratuite des vains paradis

     

    Ils nourrissent l'esprit de grandes espérances

    Et de prières pour  l'effective présence

    De la muse mystérieuse qui mon cœur prit