• Sonnet pour Marc Doyer

    Un régime aux abois, fût-il démocratique

    (le nôtre ne l'est plus, avec ce président),

    N'aime pas avoir tort, alors ses opposants

    S'exposent à des coups, pour oser la critique.

     

    Quand sort la vérité sur la vie politique,

    Le système mafieux rapprochant les puissants,

    Où les médias jouent leur rôle de courtisans,

    Juchés sur l'inertie de l’opinion publique.

     

    Police milice devient, la justice, elle,

    Est injuste, et le conseil constitutionnel,

    Comme celui d'état, devraient être remparts,

     

    Se dévouent à leur maître, en toute impunité :

    Plus personne au-dessus pour les réprimander...

    De la révolte qui pour donner le départ ?