• Jour après jour, je fais le dessin du jardin,

    D'un paradis que je bâtis de mes deux mains.


  • Pour faire oublier sa gestion calamiteuse cinq années durant, ses palinodies enmêmetempesques, ses expressions de mépris, son égocentrisme pathologique (regardez-moi, bonnes gens, comme je suis actif, comme je m'occupe de tout, des doses de vaccins aux coups de téléphone à Poutine), il envoie comme exécuteurs de ses basses œuvres les Attal, les Guérini, les Ferrand, et autres petits marquis de la macronnerie, pour occuper les médias complices et complaisants, et diffuser les messages qui visent à déconsidérer les rivaux. Pour certaines candidates, inutile de s'occuper de leur chute, car elles s'en chargent tellement bien elles-mêmes (Hidalgo, Pécresse), quant aux autres, le remède est simple : il faut que toute la France s'émeuve est s'indigne du sort des Ukrainiens, après celui des morts et des malades de la Covide, le corollaire étant la bouc-émissarisation des méchants désignés à la vindicte : après les novax-nopass, le vilain ogre Poutine, et donc, dans le contexte préélectoral, ceux qui l'ont rencontré dans le passé, ou qui ont exprimé, d'une manière ou d'une autre, à son égard une certaine compréhension. On veut nous unioneuropéaniser, nous otaniser, comme on a voulu nous vacciner. Quant à exposer les arguments de l'Ennemi, vous n'y pensez pas ! En même temps, on lui reproche de faire taire dans son pays les organes diffusant des critiques, et en Europe, dans nos magnifiques démocraties que le monde nous envie, on empêche RT d'émettre...


  • Il traîne après lui de nombreuses casseroles,

    En même temps l'histrion est un casse-rôles !