Minuit va (Sonnet)

Un poème avant minuit. Une larme jaillit

La réprimer saurais-je ? Ou je la laisse aller.

Image dans l'esprit. Visage rappelé

D'un passé souvenu, parcelles d'infini…

Des pleurs, des pleurs, des pleurs… Elle m'avait dit oui …

Et j'y pense sans cesse, à ces moments parfaits,

Ces instants d'allégresse… Oh ! Comme je l'aimais.

C'était l'accord des cœurs, et des âmes aussi.

Elle disait Je t'aime… Extase inégalable.

Émus nous disions nous, sensations ineffables.

Les signes s'ajoutaient, tous disaient notre Amour.

Sublimes rendez-vous, harmonieux unisson,

Douceur du désir à la tendresse marions …

Et puis … Que dire ici? C'est si dur … C'est si lourd ...