• Les bras des poules (fable qui galline assez)

    Quand je vois mes poules aller en picorant,

    Je les plains d'être dépourvues de leurs deux bras.

    Leurs ailes (sans jeu de mots avec « zèle, non pas)

    Ne sauraient faire office de ces instruments.

     

    Elles me plaisent avec leur air claudiquant,

    Trouvent des ressources sans ce qu'elles n'ont pas ;

    Elles savent s'adapter ainsi à leur état.

    Mais, tristesse ! Pour elles pas d'embrassement !

     

    Bon, passons à l'explication métaphorique

    À la suite de l'évocation bucolique.

    Les poules donc ne peuvent être vues coupables

     

    De n'user de ce dont elles sont démunies.

    Or, tous les hommes ont un cerveau, m 'a-t-on dit...

    De penser alors devraient-ils être capables...