Le corps vieillit, tout se dégrade, mais ... problème...

Tout? Pas mon âme et l'envie de dire "Je t'aime"...

Laissez-moi juste vous désirer,

Plaisir à vous voir vous admirer

J'attendrai votre consentement

Pour vous dire mon pur sentiment

Mon amour n'est certes pas sans corps

Mais je m'enquerrai de votre accord

Mes lèvres des vôtres approcherai

Mes yeux dans vos beaux yeux plongerai

Mes mains aux vôtres se caleront

N'en déplaise aux jaloux néocons

Aux dévoilées furies talibanes

Hurlant à dessein elles sloganent

Excitées telles puces en rut

Elles n'ont dans la vie d'autre but

Que d'en marquer contre leur équipe

En ôtant le haut moitié de strip

Laissez-moi pitié mon droit d'aimesse

En aimant celles qui sont aimables

En louant leurs courbes admirables

Avant que le niveau ne s'affaisse

Saisir le rêve qu'il ne s'échappe

Décibels si laids des dancefloors

Des dieux sont-ils que je les implore

Peau brûlée chair à vif soif du clap

Geisha soumise aux sales satrapes

Âme en feu confus suicide au bord

Foule en fête au finistère nord

Aux rires cris aigus des agapes

Vite quitte oripeaux consentis

Vois visage ravagé meurtri

Dénonce la facticité veule

Fausse fête t'enjoint de rejoindre

Perversité des viles cités

Quête la beauté elle est à peindre

J'apprécie sa présence fût-elle lointaine.

Son doux prénom illumine tout mon écran

Quelques mots jetés des souvenirs entraînant

J'en souris la remercie qui chasse ma peine

Sade ... - que ne réagit la Feminitur -

D'abord un crime contre la littérature.