• Quelle star mourra ce jour? Quelle étoile éteinte?

    Les anonymes aussi... dans la nuit sans plainte...


  • Les nouvelles sont la flatulence du monde :

    C'est bruyant, c'est puant, c'est vulgaire et immonde.


  • Le 16 septembre 2013, mon amante m'inspira note-amant ces mots:

    Mon envie de t'écrire, de te crier ma joie. Mon Amour.  Vivement ta vive voix vois-tu? Vraie, vivante, envie de vie avec toi. Veux-tu vivre avec moi? avec mon émoi? Toi mon Étoile! Vénus venue vers moi visiter mon vide. Évidence, vis, danse! en cadence avec ton cœur.  Tambour battant le temps, tellement qu'il le détend, étant l'éternité. Nie tes peurs, prie ton cœur de t'accorder la cordée. Accord et écrit. 

     

    Les cartes et l'aimant

    L'amant aimant l'aimée, la mena là, la héla, elle hélée se sentit-elle ailée par l'amant zélé? L'air est élément d'amants, et aux liens il élit le lieu léger. L'aimant clément dément ciels lourds. L'aire dévolue, voulue,  évolue, et elle est labile, elle est sans ciel : tout est ciel à l'amour. Pas de pôles, seule l'épaule polie ploie, s'y love l'ovale aimé.


  • Dois-je penser que ce que je porte m'accroît?

    Si la charge, je la crois sens, alors, ma foi...


  • Ô jour morose et gris, incolore et terne,

    Jour qui n'est même pas jour, comme une nuit

    Même pas nuit. Rien ne reluit, rien ne luit,

    Tu es si lourd que j'en ai le cœur en berne.

     

    L'ennui conséquent toutes les envies cerne,

    Comme si tout rayon avait d'ici fui,

    À l'image de mon âme au fond d'un puits,

    Et mon esprit, ainsi que mon corps, hiberne.

     

    Si ce n'était que sommeil, je m'y ferais,

    Mais des douleurs que nul ne supporterait

    Me disent que c'est aussi cela la vie.

     

    Tout mon être est affligé… Lève les yeux,

    Me dis-je, admire la nature, les cieux,

    … Où est l'espérance en cette vie ternie ?