•  Ce que j'écrivais à mon Amour le 20 septembre 2013:

    Mon Amour

    Écart des corps accord des cœurs

    Écart est-ce caresse des mots déments

    Accord don nous des moments

    Des lits cieux

    Unisson nous   même m'aime  aile île

    Deux toi deux moi  émois de toi...  nous

    Demain deux mains deux fois diront leur foi

    Leur cran sans l'écran délaissé

    Leurs corps leur décor l'heure des corps délacés

    Peu à peu peau à peau appel des sens

    Douce heure... lente heure... ode heure

    Murmures amoureux lèvres délivrées

    Mots émus gestes retenus et nos yeux disent

    Même amour cœurs et corps accordés

    Même âme...


  • Ils ont les armes, l'argent, le pouvoir,

    Ils n'ont ni foi ni loi, ils ne connaissent

    Que la logique du sec tiroir-caisse,

    Et le bénéfice est leur sale espoir.

     

    Ils moquent la culture et le savoir,

    Ils surveillent les hausses et les baisses,

    Les taux, les conjonctures, et ne caressent

    Les courbes que si elles sont d'avoirs.

     

    Ils boursicotent gaiement, ils spéculent,

    Depuis leurs écrans, ils conciliabulent.

    Quand il est question d'obligations,

     

    Ils n'imaginent que les monétaires,

    Et les actions ne sont que financières…

    C'est là la vie des amis de Macron.


  • Ainsi nommé par des présentistes très bêtes;

    Son tort: avoir raison trop tôt, être un prophète.


  • Démens les démons démunis d'aimer

    Déblaie d'ici si laides diablesses

    Défais les maléficieuses faiblesses

    Détourne ta tête aux tordus damnés

     

    Dégage joyeux jolie voie gagnée

    Déplie tes ailes de belle allégresse

    Déverse la vérité la sagesse

    Dépoussière prestement ton grenier

     

    Enrichis d'amis ta ravivée vie

    Embellis la beauté qui te ravis

    Entoure tes jours d'atours et d'amour

     

    Enduis l'aujourd'hui pour qu'il ne s'enfuie

    L'emmène au domaine de poésie

    Encense ensemence ainsi chaque jour


  • Tous ces yeux captivés par les divers écrans

    Aveuglés par leur coupable asservissement.